Ariège: Petit territoire situé entre la France et l'Andorre réputé pour sa montagne , sauvage (...) et ses forêts, vertes(...)
Histoire: communauté autonome depuis 3200 ans date d'invention des premiers skis en bois. Depuis plus de mouvement, pas de gouvernement, pas de rois connus, en fait , personne de connu...
Géographie: Ça monte pas très haut mais depuis très bas. Conclusion, même à 2500m on a l'impression d'avoir fait un 4000. Sinon des forêts partout, et entre les forêts et sous les montagnes des lacs, car l'ariégeois est pêcheur.
Population: Ce territoire est peuplé par l'A-RIE-GEOIS. Cet autochtone, qui possède la particularité de rouler à deux à l'heure, et mal, même sur l'autoroute, est comme son pays, SAUVAGE. Jusqu'au début du 21ème siècle on pensait qu'il ne savait pas parler, mais en fait c'est juste aux étrangers, comprendre l'ariégeois du village d'à coté et plus loin. On en dénombre environ 3256 sur tout le territoire avec une densité de 0,032 ariégeois par km2.
Economie. Avec l'Andorre à coté et leurs clopes pas chères, les buralistes ariégeois ont les boules... Qu'ils se rassurent les bars offrent aux touristes toulousains venus chercher le dépaysement dans ces tribus d'indigènes, des bières "faites maison" (comprendre à l'usine... aux Pays-Bas...) au prix du St Emilion chez Fauchon...
Une contrée sauvage donc que je devais visiter, voilà, c'est chose faite...
Départ vendredi donc après le boulot de la vallée du Riberot à 19H30, après avoir pris un repas vite fait à la voiture et direction la cabane de Caussis et le refuge des Estagnous.
La première partie de la montée se fait sur des pentes assez faibles et dans la forêt avant d'en sortir vers 1200M. En sortant on aperçoit au loin la cascade de Nérech dont on s'approche jusqu'à arriver au pied. Avec la fonte des neiges celle-ci est énorme et nous éclabousse de ses embruns. On la traverse sur un pont avant d'attaquer sur des pentes plus fortes. Finalement on arrive à la cabane peu avant 21H30 le temps d'admirer un magnifique coucher de soleil. La cabane de 12 places est, elle, vide, on va pouvoir passer une bonne nuit.
Coucher vers 22H30 pour un réveil à 5H et oui ils annoncent des orages pour l'après midi et la journée est longue. Départ à 5H30 vers le refuge des Estagnous où l'on prend une pause avant que le gardien ne sorte, il est 6H30. On discute un peu, on s'allège (j'ai pris ma tente pour rien...) avant de décoller.
L'itinéraire descend sur les laquets que l'on contourne par la gauche. A partir de là tout est enneigé , on cramponne. Aucune difficulté et même si vers 2400M on peut remonter des pentes à présent herbeuses, en crampons, je prends la neige pleine pente, à la différence de Thomas. On récupère finalement une crête qui nous amène directement au sommet et à sa croix. Une belle vue s'offre à nous avec notamment la Maladetta et les Posets...
Petite pause au sommet vers 8H30 avant d'attaquer la descente au refuge que l'on retrouver vers 9H45. Là grosse pause discussion avec les gardiens et un couple de franco-andorans, avant de remonter direction le col de Pécouch, atteint en une demi-heure à peine.
De là le sentier file à gauche pour descendre vers le lac de Milouga où l'on s'arrête manger. Puis il remonte sur l'autre versant du ruisseau avant de filer à flanc jusqu'à la cabane de Taus. C'est long, avec de légères montées, bref ça casse et ça barbe.
Peu après la cabane de Taus le sentier descend en lacets vers la cabane d'Arouen, puis retrouve la forêt. Pour le reste rien de passionnant et on retrouve la voiture peu avant 14H.
Une bonne ballade donc, et un beau sommet (l'intro c'est du second degré vous l'aurez compris) dans un coin où je reviendrai car sauvage et finalement à moins de 2h de Tarbes....
Histoire: communauté autonome depuis 3200 ans date d'invention des premiers skis en bois. Depuis plus de mouvement, pas de gouvernement, pas de rois connus, en fait , personne de connu...
Géographie: Ça monte pas très haut mais depuis très bas. Conclusion, même à 2500m on a l'impression d'avoir fait un 4000. Sinon des forêts partout, et entre les forêts et sous les montagnes des lacs, car l'ariégeois est pêcheur.
Population: Ce territoire est peuplé par l'A-RIE-GEOIS. Cet autochtone, qui possède la particularité de rouler à deux à l'heure, et mal, même sur l'autoroute, est comme son pays, SAUVAGE. Jusqu'au début du 21ème siècle on pensait qu'il ne savait pas parler, mais en fait c'est juste aux étrangers, comprendre l'ariégeois du village d'à coté et plus loin. On en dénombre environ 3256 sur tout le territoire avec une densité de 0,032 ariégeois par km2.
Economie. Avec l'Andorre à coté et leurs clopes pas chères, les buralistes ariégeois ont les boules... Qu'ils se rassurent les bars offrent aux touristes toulousains venus chercher le dépaysement dans ces tribus d'indigènes, des bières "faites maison" (comprendre à l'usine... aux Pays-Bas...) au prix du St Emilion chez Fauchon...
Une contrée sauvage donc que je devais visiter, voilà, c'est chose faite...
Départ vendredi donc après le boulot de la vallée du Riberot à 19H30, après avoir pris un repas vite fait à la voiture et direction la cabane de Caussis et le refuge des Estagnous.
La première partie de la montée se fait sur des pentes assez faibles et dans la forêt avant d'en sortir vers 1200M. En sortant on aperçoit au loin la cascade de Nérech dont on s'approche jusqu'à arriver au pied. Avec la fonte des neiges celle-ci est énorme et nous éclabousse de ses embruns. On la traverse sur un pont avant d'attaquer sur des pentes plus fortes. Finalement on arrive à la cabane peu avant 21H30 le temps d'admirer un magnifique coucher de soleil. La cabane de 12 places est, elle, vide, on va pouvoir passer une bonne nuit.
Coucher vers 22H30 pour un réveil à 5H et oui ils annoncent des orages pour l'après midi et la journée est longue. Départ à 5H30 vers le refuge des Estagnous où l'on prend une pause avant que le gardien ne sorte, il est 6H30. On discute un peu, on s'allège (j'ai pris ma tente pour rien...) avant de décoller.
L'itinéraire descend sur les laquets que l'on contourne par la gauche. A partir de là tout est enneigé , on cramponne. Aucune difficulté et même si vers 2400M on peut remonter des pentes à présent herbeuses, en crampons, je prends la neige pleine pente, à la différence de Thomas. On récupère finalement une crête qui nous amène directement au sommet et à sa croix. Une belle vue s'offre à nous avec notamment la Maladetta et les Posets...
Petite pause au sommet vers 8H30 avant d'attaquer la descente au refuge que l'on retrouver vers 9H45. Là grosse pause discussion avec les gardiens et un couple de franco-andorans, avant de remonter direction le col de Pécouch, atteint en une demi-heure à peine.
De là le sentier file à gauche pour descendre vers le lac de Milouga où l'on s'arrête manger. Puis il remonte sur l'autre versant du ruisseau avant de filer à flanc jusqu'à la cabane de Taus. C'est long, avec de légères montées, bref ça casse et ça barbe.
Peu après la cabane de Taus le sentier descend en lacets vers la cabane d'Arouen, puis retrouve la forêt. Pour le reste rien de passionnant et on retrouve la voiture peu avant 14H.
Une bonne ballade donc, et un beau sommet (l'intro c'est du second degré vous l'aurez compris) dans un coin où je reviendrai car sauvage et finalement à moins de 2h de Tarbes....
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