L'amitié, plus que le produit de l'année , l'invention de l'humanité. Je ne bénirai jamais assez le créateur de génie qui a eu cette idée, celle de consoler, de réconforter, sans rien demander, les coeurs brisés . Ce surdoué qui au milieu de la haine, de l'égoïsme, de la cupidité a voulu aider. Mais les amis c'est rare, quand on parle des vrais, se comprendre sans se parler, c'est comme ça qu'on les reconnait. Moi j'en ai pas 50, deux à tout casser , de ce à qui on peut confier , le plus ignoble secret, celui d'avoir cédé, et la honte de s'être caché. L'infamie aussi d'avoir réduit deux coeurs à l'état de bouillie, et le sentiment insupportable d'en être le seul responsable.
J'ai laissé passé ma chance, celle de vivre heureux avec elle, à ne pas lui faire confiance, je l'ai trahie elle, pourtant si belle.
Alors cette rando avec mon ami, mon alter-ego montagnard je l'attendais plus que jamais. Celui qui m'a supporté pendant un mois de Traversée, sans jamais raler. Avec qui j'ai vécu la plus formidable épopée, plus incroyable encore qu'on ne pouvait l'imaginer, 29 jours à marcher dans nos Pyrénées , un mois à rever éveillés. Une complicité parfois jalousée mais qui ne s'est jamais atténuée.
Alors encore une fois on a été se balader un puis deux sommets comme on en a fait tant ensemble, une boucle pour se remémorrer tout ce qui nous rassemble. Le Mail d'abord en partant de la cote 915m après le port de Castet . Il faut traverser la forêt par une sente marquée et puis s'élever sur les pentes à gauche dans les genêts. Encore une fois on n'a pas trainé, on voulait se défouler, ce fut fait! Le sommet vite atteint laisse déjà voir le Moulle de Jaüt où l'on a failli s'aventurer, avant que la pluie qui tombait ne nous y fasse renoncer. On suit ensuite la crête jusqu'au Soum de Quiala puis on descend jusqu'à un col à 1600M. Là il faut contourner une barre par la droite, la sente est peu marquée mais cairnée.
On remonte ensuite jusqu'à un sommet vers 1630m avant que le Durban n'apparaisse enfin. Devant quelques isards et les chasseurs pas loin. Y'a plus qu'à remonter jusqu'au dernier sommet de la journée, il est 9H45, soit moins de 1H45 depuis la voiture...
Petite pause vite fait avant de décoller pour aller manger un bout et puis descente par le vallon du Baylé et la cabane du Clos.
Avec Benoit quand on est en montagne on est deux grands gamins on se défoulera donc sur la descente dans le bois en courant comme des dératés, mais mec, c'est moi qui ai gagné :)
Retour à la voiture avant de rentrer mais pas sans s'arrêter au fast food, perpéter cette tradition que l'on avait il y a 7 ans déjà des RANDOS MAC DO
Bref pour résumer cette matinée en seul mot MERCI L'AMI. J'en ai pas des tonnes mais ceux que j'ai beaucoup en voudraient!!!!
J'ai laissé passé ma chance, celle de vivre heureux avec elle, à ne pas lui faire confiance, je l'ai trahie elle, pourtant si belle.
Alors cette rando avec mon ami, mon alter-ego montagnard je l'attendais plus que jamais. Celui qui m'a supporté pendant un mois de Traversée, sans jamais raler. Avec qui j'ai vécu la plus formidable épopée, plus incroyable encore qu'on ne pouvait l'imaginer, 29 jours à marcher dans nos Pyrénées , un mois à rever éveillés. Une complicité parfois jalousée mais qui ne s'est jamais atténuée.
Alors encore une fois on a été se balader un puis deux sommets comme on en a fait tant ensemble, une boucle pour se remémorrer tout ce qui nous rassemble. Le Mail d'abord en partant de la cote 915m après le port de Castet . Il faut traverser la forêt par une sente marquée et puis s'élever sur les pentes à gauche dans les genêts. Encore une fois on n'a pas trainé, on voulait se défouler, ce fut fait! Le sommet vite atteint laisse déjà voir le Moulle de Jaüt où l'on a failli s'aventurer, avant que la pluie qui tombait ne nous y fasse renoncer. On suit ensuite la crête jusqu'au Soum de Quiala puis on descend jusqu'à un col à 1600M. Là il faut contourner une barre par la droite, la sente est peu marquée mais cairnée.
On remonte ensuite jusqu'à un sommet vers 1630m avant que le Durban n'apparaisse enfin. Devant quelques isards et les chasseurs pas loin. Y'a plus qu'à remonter jusqu'au dernier sommet de la journée, il est 9H45, soit moins de 1H45 depuis la voiture...
Petite pause vite fait avant de décoller pour aller manger un bout et puis descente par le vallon du Baylé et la cabane du Clos.
Avec Benoit quand on est en montagne on est deux grands gamins on se défoulera donc sur la descente dans le bois en courant comme des dératés, mais mec, c'est moi qui ai gagné :)
Retour à la voiture avant de rentrer mais pas sans s'arrêter au fast food, perpéter cette tradition que l'on avait il y a 7 ans déjà des RANDOS MAC DO
Bref pour résumer cette matinée en seul mot MERCI L'AMI. J'en ai pas des tonnes mais ceux que j'ai beaucoup en voudraient!!!!
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