Puisqu'il est dit que les mercenaires ne vont que là où l'argent est roi. Puisqu'il est écrit que les arrivistes n'ont ni patrie, ni racine, ni toit je te dis au revoir, les Pyrénées n'ont pas besoin de toi.
UNE COMÉDIE BURLESQUE
A le voir
hier, caché derrière son homme en noir, lui jadis si fier ,devenu
proie, peureux et hagard, cherchant les réponses dans les yeux de
son Maître, chuchotant et manigançant comme le font les traîtres.
A l'écouter essayer de déstabiliser en vain, celui qui a toujours osé l'affronter en face , à l'entendre balbutier devant quelques témoins, une tirade éculée par la mauvaise foi et le manque d'audace...
A le voir si fragile, vil géant aux pieds d'argile, refusant mon regard quand je cherchais le sien, lui qui fut pourtant à mon égard, l’instigateur d'un lynchage quotidien....
Ah que j'étais bien....
Mais sait-il au moins, sous ses faux airs de Don Juan de pacotille et de directeur d'opérette, que cette Force en moi qui m'anime et qui brille, tout sauf obsolète, rien, non rien ne l'arrête. J'ai la témérité du soldat blessé et la rage d'un condamné à tord, touché au cœur, dans mon intégrité, tu le sais je me battrai jusqu'à la mort
A l'écouter essayer de déstabiliser en vain, celui qui a toujours osé l'affronter en face , à l'entendre balbutier devant quelques témoins, une tirade éculée par la mauvaise foi et le manque d'audace...
A le voir si fragile, vil géant aux pieds d'argile, refusant mon regard quand je cherchais le sien, lui qui fut pourtant à mon égard, l’instigateur d'un lynchage quotidien....
Ah que j'étais bien....
Mais sait-il au moins, sous ses faux airs de Don Juan de pacotille et de directeur d'opérette, que cette Force en moi qui m'anime et qui brille, tout sauf obsolète, rien, non rien ne l'arrête. J'ai la témérité du soldat blessé et la rage d'un condamné à tord, touché au cœur, dans mon intégrité, tu le sais je me battrai jusqu'à la mort
SUR LA NATURE HUMAINE
Sur la
nature humaine, sur ces valeurs que je pensais universelles, sur ce
caractère que je croyais commun à chaque HOMME, je me suis trompé.
J'essaye depuis quelques semaines de lui trouver des excuses ou à
défaut des raisons, qui en ont fait cet être méprisable et
méprisé, vil menteur, hypocrite et revanchard, mauvais perdant et
petit joueur à la fois. Je me force, contre nature, à rechercher le
bon qui se cache derrière l'infâme, la lueur d'honnêteté sous la
strate de malveillance, mais je n'ai rien trouvé.
Alors même en me disant que sans croire en Dieu, il existe une justice au delà des HOMMES qui rendra son jugement et qu'il paiera pour ce qu'il m'a fait, je ne trouve plus la force pour me battre et préfère arrêter. Il a gagné la guerre, criminel contre mon HUMANITÉ
Alors même en me disant que sans croire en Dieu, il existe une justice au delà des HOMMES qui rendra son jugement et qu'il paiera pour ce qu'il m'a fait, je ne trouve plus la force pour me battre et préfère arrêter. Il a gagné la guerre, criminel contre mon HUMANITÉ
UNE APOLOGIE DU COMBAT
J'avoue je
n'aime pas me battre ,( physiquement je parle), c'est un fait et j'ai
toujours méprisé ces gueux sans cerveau qui au moindre mot,
décochaient un poing ou une tête, comme pour se persuader de
détenir encore la vérité, comme pour redorer leur fierté,
abaissée et atteinte en plein cœur. J'ai toujours trouvé idiot
d'avoir pour seule réponse à la moquerie la violence du corps, et
non celle de l'esprit.
Mais si j’abhorre cette forme de combat là, celle des mots, plus perverse, et complexe m'enchante et me réjouis. Et là aujourd'hui, je suis aux anges .
Ce matin le deuxième, ou peut-être troisième round de la joute que je mène depuis 3 mois , a commencé. Une confrontation verbale, nerveuse , psychologique, perfide où tous les coups sont permis.
Le troisième acte donc, où après la découverte, l'observation, les coups, les vrais sont partis. Je connais à présent ses forces, son répertoire mais si la partition est belle le musicien joue faux. Ce matin donc, j'ai lu dans son jeu, comme dans un livre ouvert, esquivé, en maintenant ma garde, les uppercuts et les directs et lui qui espérait une baisse de ma vigilance a fini dans les cordes, épuisé. Je sais qu'il reste encore du temps, qu'il LUI reste encore de la force mais moi je n'ai pas encore frappé.
Le temps viendra, pour moi aussi , de prendre des risques. Mais ce jour là je saurai comment l'atteindre!!!!
Mais si j’abhorre cette forme de combat là, celle des mots, plus perverse, et complexe m'enchante et me réjouis. Et là aujourd'hui, je suis aux anges .
Ce matin le deuxième, ou peut-être troisième round de la joute que je mène depuis 3 mois , a commencé. Une confrontation verbale, nerveuse , psychologique, perfide où tous les coups sont permis.
Le troisième acte donc, où après la découverte, l'observation, les coups, les vrais sont partis. Je connais à présent ses forces, son répertoire mais si la partition est belle le musicien joue faux. Ce matin donc, j'ai lu dans son jeu, comme dans un livre ouvert, esquivé, en maintenant ma garde, les uppercuts et les directs et lui qui espérait une baisse de ma vigilance a fini dans les cordes, épuisé. Je sais qu'il reste encore du temps, qu'il LUI reste encore de la force mais moi je n'ai pas encore frappé.
Le temps viendra, pour moi aussi , de prendre des risques. Mais ce jour là je saurai comment l'atteindre!!!!
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